« J’appelle féminologie ce champ épistémologique nouvellement ouvert aux côtés des sciences de l’Homme, promesse d’enrichissement réciproque. Ces sciences des femmes s’efforcent
de comprendre notre savoir forclos,
à la fois inconscient et exclu. »
« C’est une sorte de chemin de fugue où la pensée – la géni(t)alité des femmes – qui m’habite, et qui m’habitait probablement dès avant ma naissance, se répète, se différencie, se vaporise, se polarise, se disperse, se décentre, s’excentre, s’excède… »